Le retour d'une ombre déchue

Le froide horloge du bureau Madame Morgan venait de sonner minuit. Il s'agissait d'une nuit très claire, la lune été haute, les étoiles scintillaient. En bref, une belle nuit d'été. Hérasme, à son bureau, avait le nez plongé dans une immense pile de dossier en tout genre, de le pile de facture, au invitation a divers fêtes mondaine du ministère. Elle somnelait gentiment.

Soudain, une petite voix vint à ses oreilles: "Moorgann.....Morgaaan...."

Puis le silence, Hérasme mit ces halucination sur le compte de la fatigue. Mais elle ne put s'empecher de douter. De plus avec toute ces rumeurs sur le retour des Marchombres emmené par un nouveau dirigeant, bien décidé à LE faire revenir.

Et d'un seul coup... Toutes le bougie furent souflées, tous s'obscursie. La porte grinça, mais sans s'ouvrir, les volet claquèrent, mais sans bougeaient. Hérasme se leva alla jusqu'a la fenêtre, l'ouvrit, jeta un coup d'oeil rapide, puis commença à la refermer quand un voix, forte mais claire, lui parvint. elle se retourna d'un bond. Elle venait de son propre fauteil.

Un ombre y était visible. Cette ombre se leva et dit:" Les protections de se chateau ne sont vraiment plus ce qu'elles étaient !!"

Morgan comme chaque nuit ne dormait pas... Elle restait seule dans son bureau ou dans les couloirs à surveiller, les élèves et tous le reste. Ce soir là, devant son bureau imposant, elle lisait des lettres de certains parents d'élèves, qui s'excusaient du retrait rapide de leur enfant... Soufflant, tout se qu'elle avait fait n'avait servis à rien, quelques élèves étaient encore present mais l'école etait vide, morne. Elle n'entendait plus les rires des élèves, les bavardages, et toutes les blagues auquel elle avait droit.... Et malgré tout ca, elle avait espoir de revoir tout ses élèves...
Lassait de toutes ses lettres identiques, elle se reposa sur le dossier de velour de son siège, quand soudain elle entendit dans un murmure froid, son nom ...

"Moorgann.....Morgaaan...."

Elle ne bougea pas, regardant dans tout les recoin de la pièce pour voir d'ou pouvait provenir se son ou plutot se rale... Elle ne vit rien... Pensant que la fatigue de plusieurs jours se faisait sentir, elle replia alors le parchemin quand cette fois, elle le savait les bruits dans la pièce n'était pas son imagination...
Et en instant, tous les lustres de la piéce et les petite bougis s'eteignirent, laissant le bureau dans l'obscurité mis à part, le rougeament de ses yeux... Elle se leva et alla ouvrir la fenetre, respirant l'air d'une grande boufé... Elle sentait que cette nuit n'était pas ordinaire. Ses cheveux flottait sous la brise froide de la nuit quand il lui parla...

Les protections de se chateau ne sont vraiment plus ce qu'elles étaient !!

Elle se retourna alors, elle n'en croyait pas ses yeux... C'était vraiment lui ? Elle allait lacher tout ses troubles et toute sa tristesse quand elle remarqua une chose qui n'était pas insignifiante. Zak, c'était bien lui, portait une tenue de marchombre... C'était invraisemblable, c'était une blague, mais elle savait la réponse dans le ton froid de sa voix...

Crois-tu vraiment que je suis si faible que ca ? Moi par contre je suis décu , tu n'as rien vus...

Herasme restait calme, à quelques pas de lui dans sa robe emeraude de soie fine, on pouvait voir sa silhouette parfaite à travers le contre jour... Et seul ses yeux étincelant resortait de cette ombre mouvante...

( stp arrete de dire se que je fais et se que je pense ^^ )

Zak savait qu'Héramse était devenue plus forte que lui, son inactivité croissante en était la cause. Mais il ne chercha même pas à savoir ce qu'elle lui avait reservé. Il s'avança vers elle, les mains bien en évidence. Il s'appuya à la fenetre et ajouta:

"Je suis venu ici pour deux raison. La première n'est pas de mon ressort, je ne suis qu'un vulgaire intermediaire. Quand à la seconde, tu doit en douter, elle est plus... personnel."

Zak se redressa, mais sans detourner le regard d ela fenêtre reprit:

"Vois-tu, tu dit être déçue de mon passage chez les marchombres, mais tu sera encore plus déçue si je te dit que ej n'ai jamais était avec le ministère. Mon entrée à Edengrade n'était qu'une couverture afin d'en prendre le coontrôle avec Lini. Mais il à était repéré, et nous ne pouvions pas nous permetre de risquer une double couverture, alors nous avons inventés notre rivalité et toutes ses conséquences."

Zak s'arreta quelque secondes afin qu'Hérasme puisse réaliser l'empleur du subterfuge.

"Mais si je suis revenu ce soir, c'est pour te faire part d'une nouvelle: IL sera bientôt de retour, ce n'est plus qu'une question de semaines, de mois tout au plus. Je doit aussi t'aviser, qu'a mon grand regret, nos rang n'ont cesse de croître, mais sais tu par qui ?? Par ces parents qui t'enlèvent leurs enfants. Et oui, comme le ministère ne fait rien, il préférent s'allier à nous plutôt que de mourir."

Il retourna au bureau et s'assit de nouveau sur le fauteil de Mlle Morgan.

"Et dire que je suis rester assit a ce poste durant tout un mois, comme l'avait prévu notre maître. Remarque, tous ce passe comme il le dit, même mieux pour le moment."

Zak frotta les accoudoirs du fauteil frebrillement comme s'il s'agissait d'un félin.

"Maintenant passons à ma demande personnel. Comment est ce que sa se passe avec Kakashi ?!?"

Le sourire au coin de Zak, qu'on pouvait deviner au travers de son masque à lame, s'estompa d'un seul coup.

Mlle Morgan écoutait les paroles lentes et drus de Zak. Chaque mots, chaque phrase était un supplice. Elle qui le croyait mort, qui pleurait encore à la vue de ses souvenirs dans son esprit, ne reagissait pas à l'annonce de cette vérité...
Elle ne le regardait pas, et c'était tant mieux pour lui, elle aurait pu le brulait avec son regard tellement la haine, la tristesse et la souffrance s'imprégnaient en elle, et ses sentiments ne l'affaiblissaient pas au contraire...
Les cheveux ondulents derrières elle, tout comme sa robe, onnait à Herasme un air sereint qui était plutot étrange vis à vis de la situation....
Elle écoutait, buvant à contre coeur, ses annonces si terrible soit elles. Le vent sur sa peau la rafraichissant, elle qui brulait de l'intérieur...
Quand zak une finie son histoire, son monologue digne d'un théatre, elle tourna à peine la téte, ses rouge a peine ouvert, lui donnaient un air sombre et noir... Et comme elle s'y attendait, il parla...

Maintenant passons à ma demande personnel. Comment est ce que sa se passe avec Kakashi ?!?

Le sourire sadique qui était sur ses lèves disparut quand il abordat le sujet... Malgré sa position comme il le disait supèrieures avec son maitre et ses alliès, elle savait qu'elle avait un avantage...
Elle sourit ... Levant sa main silencieusement, elle fit apparaitre, une flamme dans sa main, elle elle la fit tournoiyer atour d'elle comme l'air peu toubrillonait autour d'un cyclone....

Es-tu vraiment venue pour m'annoncer la venue de ton maitre, chose que tu t'en doute je sais deja ? Ou es-ce juste pour cela ?

Herasme comme portait par ses flammes, flottait à quelques centimétres des dalles de pierres...

Cela ne te concerne plus... Et puis quel interet ? Tes sentiments étaient sans doute faux comme ton soit disant courage et cette loyauté vis à vis du ministère...Non ?

Herasme restait calme, elle pesait ses mots, comme une potions qui elle le sentait, était terrible...

Zak regarda Hérasme avec attention. Il ne cilla pas du regard pendant ce qui s'emblaient être des heures. Puis d'une calme et doucereuse, il déclara:

"Accordes-tu beaucoup d'importance à la Famille? Est tu pretes à donner ton dernier souffle pour sauver le blason de tes ancètres? Si tu veut vraiment savoir, moi oui!"

Zak s'avança vers Hérasme et lui tendit un illustrès représentant un homme, du genre elfe, comme Zak, mais il semblait affaiblit. Une étrange couronne ornait sa tète. Le marchombre semblait troublait par ce dessin.

"A ton avis, qui est représentait sur cette feuille? C'est mon père, Malékith, Roi-sorcier de Nagaronth. Et ce passage retrace sa sortie des Flammes du Jugernault. Tu doit te demander pourquoi est-ce que je te parle de lui. C'est simple, mais j'y viendrai, pour le moment laisse moi te conter l'histoire de mon père."

Zak joignit ses main et dit clairement: sedato
Il fit apparaître deux fauteuils noirs, s'assit et invvita Mlle Hérasme a en faire de même.

"Mon père est né dans des conditions complexes. Il été le fils d'Aenarius I, souverain du peuple Haut Elfe, et de la grande prophetesse Morathi. Cette union fut contester par la plebe, mais encore d'avantage à la mort du souverain. En effet, l'héritier d'Aenarius était en route pour la cité d'Opale pour se fair sacré roi, quand il fut victime d'un accident et mourut sur le coup. Mon père aurai dut avoir le trone, amis ne voulant pas recevoir les foudre du peuple, il se destina à une carrière militaire. Mais deux ans plus tard, à la mort du régent, Malékith ne put échaper à son devoir, et du affronter l'épreuve de selection: Les Flammes Du Jugernault. C'est flammes avaient le pouvoir de choisir le roi. Il devait entrer à l'interieur du brasier et en ressortir indem. Tout les précédent roi avez reussi, alors il fit. Il entra sans problème, et en sortie de même, mais lorsqu'il s'éloigna du feu, un étincelle s'en échappa et le frappa dans le dos, ce qui le fit s'embraser immédiatement. Lui et Morathi furent bannis des Terres Elfiques, mais une troupe de fidèles, appelé Druchii les suivirent. La suite n'as pas vraiment d'importance, mis a part le fait qu'il mouru dans d'horible soufrance à cause d'un poison."

Zak se releva, avança vers Hérasme et lui dit:

"L'étincelle ne venait pas du brasier!.... J'ai chercher pendant ces dernier mois la cause de cette chose, et j'y suis parvenue. Un membre de l'assemblée n'aurait pas du être là, car ce n'était pas un elfe. Il s'agit d'un membre du ministère! Je vais savoir où il se cache, et je vais l'éxécuter, et enfin ma famille sera de nouveau honorée. Voila la raison de ma venue chez les Marchombres."

"Accordes-tu beaucoup d'importance à la Famille? Est tu pretes à donner ton dernier souffle pour sauver le blason de tes ancètres? Si tu veut vraiment savoir, moi oui!"
Quand il prononca cette phrase, elle fit disparaitre d'un coup sec la flamme qui l'envloppait, mais, elle ne retomba pas durement sur le sol mais plutot comme un ange descend de son nuage.

Tu sais qui je suis Zak... Je suis une salamandre et moi plus que qui conque j'ai l'esprit de famille comme tu dis. Je suis une des dernières salamandres et je n'ai que peu de frère et soeur. Notre peuple est le plus vieux de tous et le plus en péril à cause du ministère qui il y a plus de 20 ans nous chassaient.

Quand il lui présenta une chaise , elle ne s'assit pas, comme voulant restait droite à l'appel de son peuple.

Je ne vois pas pourquoi je devrais t'expliquer cela, car tu n'as aucune excuse. En fesant se geste tu n'honore pas ta famille tu l'a trahi. Je protége en mon sein l'espoir d'un peuple non pas en me vengeant mais en survivant. A mes yeux tu n'es pas un homme ...

Elle se tourna regardant le ciel noir d'encre parsemait d'étoiles et qui devait surement étre ses ancétres...

A tu songeait un instant que tu pouvais te tromper ? Es-tu trop sur de toi pour remetre en question ton jugement ?
D'ailleurs je voudrais savoir une chose pourquoi m'explique-tu tous cela ?

Herasme venait de terminer sa tirade et Zak la regardait toujours aimant bien qu'elle ne le fut plus pour lui. Il s'approcha de nouveau d'elle et lui dit:

"Cette conversation est finie, je la continurai lorsque tu aurai compris mes agissement, jusque là je en pense pas de nouveau te reparler de ce sujet. De plus, j'ai un nouveau disciple à former, mais tu t'en rendra compte bien assez tôt."

Le marchombre se dirigea vers la porte, l'ouvrit et s'y engagea. Mais sur le pas de la porte, ce dernier se retourna et dit à Hérasme:

"J'ai certes changer, mais la véritable chose à laquelle je tient à encore plus changer que moi, car même le sentiment le plus sommaire y a été bafoué."

Zak se redressa et d'un geste vif et dit: "Patience, je suis en route. Je doit te laisser chere Hérasme mon élèves m'attend avec impatience".

"TRANSPO", et Zak disparut dans un nuage de fumée pourpre.

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