Solitude

Aprés avoir déposé mes affaires dans la salle commune de Fire-Stream, je me rendis dans cette forêt où tous est different de la vie du château. La nature a pris le dessus sur l'humain, et la végétation est devenu magnifique aprés tant d'années. Une légére brise vint me carresser le visage, elle était parfumée et fraiche. Elle me rappellais les heures d'entrainement avec mon grand pére. Tout était calme au alentours, on entendait seuleument les oiseaux chanter. Je me demandais si mon arrivée dans cette école était une bonne chose, je ne connaissais personne, et les cours était pas comme je le souhaitais. J'avais aussi entendu parler des marchombres, qui étaient-ils réellement? Il fallait que j'en sache plus la dessus. Peut-être y rentrerais-je un jour... J'en apprerndrais surement beaucoup plus avec eux quand cour.

Krystal se promenait dans la grande foret, etant nouvelle, cette endroit lui donnait l'impression que tout lui appartenait. Elle n'avait encore fait la connaissance de personne et commencait a se sentir seule. Elle qui aime tant se retrouver entourée d'amis, qui n'aime pas etre solitaire, elle etait servi la pauvre.

Apres tout c'est normal, je viens juste d'arriver, je ferais bientot connaisance avec plein de gens... du moins je l'espere... se dit-elle tout bas

Une legere brise s'etait levée, une calme fou regnait dans cette foret, ce coin etait un lieu de solitude et de calme pur, nul autre endroit ne lui ressemblait. Krystal adorait se promener dans la foret, se sentir proche de la nature.
Au loin, elle apercu quelqu'un quel ne connaissait pas, curieuse, elle se rapprocha et lança a la personne en face d'elle

Bonjour, je m'appelle Krystal, et toi?

Je vis au loin une fille qui s'approchait de moi, qui était elle? Je ne l'avais jamais vu depuis mon arrivée. Elle me dit son nom et je fus pris au dépourvu.

Euh, salut! Moi c'est Sasuke.

Je n'aimais pas trop parler avec des inconnus, mais elle avait l'air si seule. Moi j'avais l'habitude, mais elle, on aurait dit qu'elle avait toujours eu plein d'amis qui l'aimait. Je n'avais jamais connus ce genre de sentiment.

Tu est dans quelle maison? Et en quelle année?

Je me dis qu'il fallait que je lui réponde, et pe être, qui sait, deviendrait elle mon amie...

Le garçon, ou plutot l'homme semblait pris au dépourvu, je vis dans ces yeux qu'il n'avait pas pour habitude d'adresser la parole aux gens qu'il ne connait pas. Il me donna enfin son nom, il s'appellait Sasuke.

Il avait des yeux noir, un regard perçant qui devait en faire fuir plus d'un, mais etonnament, je ne pouvais cesser de les regarder. Je fut ravi qu'il me posa une question, j'avais peur qu'il s'en aille apres m'avoir donner son nom. Je me decidais enfin a lui repondre

Je suis enchantée de faire ta connaissance Sasuke! Je suis nouvelle ici, j'ai été envoyer a Aquatica et je suis en 6eme année. Et toi? J'espere que je ne te derange pas...

En effet, j'ai peur de le deranger, apres tout, il etait surement venu ici pour les meme raison que moi, pour y etre tranquille. J'esperais au fond de moi qu'il me dirais que je ne le derange pas; je ne saurais expliquer pourquoi mais j'ai envie d'apprendre a le connaitre, j'aimerais qu'il soit mon ami...

Elle me répondis, toute génée.

Nan tu ne me dérenge pas, je méditais sur ce que m'a appris la vie.

Elle était trés belle, mais que penserait-elle de moi? J'en avais fait fuir tellement que celle-ci, le cas allez surement être le même.

Tu a entendu parler de ce bal? Tu y vas?

On ne sait jamais, mais son regard était si beau, la forêt était devenu un univers parralléle, elle se détaché si bien de ce décord surnaturel.

En fait, je ne sais pas trop en quelle année je suis, je viens d'arriver, et je ne me suis pas renseigné la dessus. Mais dés que je le sais, je te le dis. En tout cas j'ai seize ans.

Je ne sais pas pourquoi mais je ne voulais pas que la discussion s'arete, je fus donc soulager quand il me repondit que je ne le derangeais pas.

Moi aussi j'ai 16 ans, je suppose qu'on est dans la meme année...

Je me senti tout d'un coup rougir, moi qui ne suis jamais a cours de mots, de phrases, je me sentait vraiment intimidée par cet homme. Il me regarder avec ses yeux noirs, je me sentait vraiment envoutée.

J'ai entendu parler du bal, mais je ne sais pas quand il a lieu. J'irais surement, par curiosité car je n'ai pas (encore...) de cavalier.
Tu en sais peut etre plus sur le bal toi? Tu as une cavaliere?

Je ne savais plus ce que j'attendais... Lui aurais-je poser cette question en esperant qu'il me proposerait d'aller au bal avec lui? Pourquoi etait-ce aussi confus dans ma tete?

Lorsqu'elle me répondit qu'elle n'avait pas de cavalier, je me dis qu'il fallait que je lui demande, mais comment?

Euh, je n'en sais pas plus sur ce bal, mais voudrais-tu y aller avec moi?

Ces mots était sortis de ma bouche sans que je m'en rende compte, je voulais fuir mais mes jambes refusait de bouger. Serais-je tombé amoureux en si peu de temps. Je ne connaissais pas ce sentiment. Que faire, lui déclaré ce que j'épprouvais, non. C'était trop tôt. Mais que lui dire d'autres?

Ses mots ont resonner dans mes oreilles a ne plus en finir, il m'avait demander de l'accompagner. J'etais vraiment contente qu'il me le demande et je lui repondit en rougissant

Je serais ravie d'etre ta cavaliere pour le bal dis-je d'une voix douce et timide

Je le regardais droit dans les yeux, j'essayer de lire ce qu'il ressentait. J'etais troublée, j'avais beaucoup d'amis, dont pas mal de garçons, mais je n'ai jamais ressenti pour eux ce que je ressens pour lui. Serait-ce le fameux coup de foudre, comme l'appel les humains? Je ne savais plus quoi dire, j'etait comme paralysée, que devais-je faire?

Est-ce que sa te dirais qu'on continue de marcher tout en bavardant?

Je n'aurais rien pu dire de plus bete... Je me demande si il a vu que sa presence me troublait. A vrai dire, j'etais tellement troublée que plus aucun sons ne pouvait sortir de ma bouche

Je ne pouvais plus m'y tenir, je l'aimais, et il fallait que je lui dise. Ce qui se passa fut si rapide, autant pour elle que pour moi. Je venais de poser mes lévres sur les siennes.

Je... Je suis désolé, mais... ça ma pris subitement, et... Je tenais à te dire que je t'aime

Je ne sais pas ce qui m'avais pris. Je me sentais ridicule en face de son regard surpris, que me dirait-elle?

Je suis désolé, il faut mieux que je m'en aille, je n'aurais jamais dut...

Ses yeux noirs etaient toujours plongé dans les miens, j'etais dans un autre monde, rien n'aurais pu m'en tirer, enfin en théorie.
Cela c'est passer tellement vite que j'ai cru que j'avais rever, il avait poser ses douces levres contre les miennes. Il commença a s'excuser puis il prononca ses mots "je t'aime"

Alors lui aussi avait resenti la meme chose que moi, lui aussi avait eu le coup de foudre. J'etais aux anges, quand il rajouta

Je suis désolé, il faut mieux que je m'en aille, je n'aurais jamais dut...

Il commencait a partir quand je reussi a le ratraper par la main

Non, ne dit pas que tu n'aurais pas du. Moi aussi je t'aime.

Ces mots etaient sorti telle une fleche de ma bouche. Sans meme m'en rendre compte, je deposait sur ses levres un baiser tendre et passioné.

Il commence a faire sombre et frais. Rentrons et retrouvons nous demain dans les Jardins aux mille couleurs, on pourra discuter tranquillement. Je n'ai jamais ressenti sa avant et je ne veux pas te perdre, dis moi que tu ne regrette pas ce baiser et que tu me retrouvera demain

Alors elle aussi m'aimait... J'étais si heureux, et en même temps si perturbé.

Bien sur que je te retrouveré demain, ou tu veux, même dans la grande salle le matin. Et je ne regrette pour rien au monde ce délicieux baiser.

Je la pris dans mes bras et me mis à la contempler, elle était si belle, et si douce. Je l'embrassa le plus tendrement possible.

Je t'aime...murmurais-je si doucement que le vent pouvait couvrir ma voix

Il me prit dans ses bras, comme pour me souhaiter bonne nuit. Je me blotti contre lui, et releva la tete, afin de l'embrasser.
Je me sentais en confiance dans ses bras. Je l'entendit murmurer, il avait dit je t'aime tellement doucement que meme une respiration aurais couvert le son de sa voix. Sa voix, elle m'envouté, comme ses yeux, je me sentais bercée.
Je reviens a la réalité, je devais retourner dans mon dortoir, mais je n'avais le coeur a quitter ses bras.

Il faut qu'on y aille lui dis-je a contre coeur

Je ne voulais plus partir, et en entendent le timbre de sa voix, je vis que elle non plus.

Je vais te raccompagner jusqu'à ton dortoir si tu le veux, la nuit n'est pas sure ces temps ci. Et je ne voudrais pas que tu te fasse attaqué par des bêtes sauvages ou par d'autres chôse plus dangereuse.

Je la pris par la main et nous prîmes le chemin du château.