Toute seule (PV quelqu'un de masculin^^ ou sanzo )

La salle de balle était magnifique, de splendides tissus de soie descendaient le long des mures, la pièce était seulement éclairée par quelque bougie rendant l’atmosphère plus intimiste, plus propice aux rencontres amoureuse et au doux mot, tous semblait bien s’amuser, seule, une ombre dans le fond de la pièce rester isoler, en s’approchant on pouvait distinguer de magnifique cheveux blond, c’était Tinker.
Depuis la demande que lui avait faite Sanzô dans l’infirmerie, Tinker n’avait pas revue son bel amant. Cette soudaine disparition la rendait un peu inquiète. C’était donc dans l’espoir de le revoir, qu’elle était venue toute seule.
Cela faisait maintenant plus d’une heure, qu’elle attendait, Sanzô n’avait toujours pas pointé son nez, le d’espoir commençais a envahie notre petite blonde toujours joueuse, avec une mine boudeuse, elle regarda les alentours, sont regard tomba sur son professeur de botanique, Mlle Naua, et Pyrgus Malvae, ou comme le surnommé Tinker « petites oreilles pointues », ils semblaient être heureux ensemble…
Cette vision était trop douloureuse, Tinker baisa les yeux et d’une mine boudeuse, elle se mit à jouer avec son châle rose, elle pensa :

« Tout ces apparats ne me serve a rien… Il ne viendra pas… »

Elle se leva et s’apprêta à quitter la salle quand tout d’un coup une main la retenu par le poigné, elle se tourna et fit face a un inconnu du moin c'est ce qu'elle pensait.

Invité

Tout le monde dançait au bal de l'académie d'edengrade, tous les élèves c'étaient habillés de leur plus belle tenus qu'ils avaient, ils c'étaient coiffés et avaient laissés leurs armes dans leur chambre, rien ne devait dérengeait cette magnifique fête.
Une jeune fille était assise à une des nombreuses tables qui avaient été dressé pour cette soirée.

La jeune fille en question était magnifique, de maginfique cheveux blonc et une robe qui l'a rendé encore plus belle que les autres jours. Il s'agissait de Tinker, l'infirmière du château, qui devait s'en doute attendre Sanzo.
En la voyant Evan voulu alle la saluer mais sachant qu'elle vait rendez-vous avec Sanzo il ne voulait pas s'incruster, puis après avoir passé quelques secondes à l'observait il la vit se lever pour s'en aller.
Se levant à son tour il s'approcha de la jeune fille et lui prit le poigné pour ne pas qu'elle s'en aille.

Evan était habillé d'un tenu blanche, un long pantalon qui tombait sur les chaussure et une chemise blanche avec des runes lui servait de tenu de soirée, il portait également un chapeau, blanc aussi.

Au moment où Tinker tourna la tête pour vois qui la tenait il fit une révérance et il lui sourit.

" Tu ne vas pas partir aussi tôt, la fête vient juste de commencer.
Aller assis toi, je vais te tenir compagnie, enfin si tu veux bien !"

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Puis Sanzô arrive à son tour. Il était en retard, ce qui n'était pas très habituel chez lui mais il s'était crée des problèmes avec son costume... Il s'était fait le plus beau possible pour voir Tinker.

Il traversa les couloirs, en rencontrant en chemin plusieurs élèves qui dansaient en marchant... Cette soirée allait être magnifique, et Sanzô était persuadé que Tinker le serait aussi...
Alors il continua sa route jusqu'à arriver aux deux portes ouvertes, qui donnaient sur la fête. Il entra à l'intérieur et se mit à chercher en balayant la salle du regard. Puis il finit par la trouver... Elle était splendide, magnifique, rien et personne ne pouvait être aussi superbe qu'elle...

Sanzô commenca à avancer vers elle quand, Evan intervint. Tinker se mit à sourir alors Sanzô prit la première chaise qui lui passa sous la main et s'installa au fond de la salle... Il se retrouvait seul et Tinker avait dû changer de cavalier... Mais tant qu'il voyait cette fée heureuse, rien ne le rendait triste et peiné...
Alors il se commanda une boisson et attendit... Quoi? Surement rien mais il attendait...

Tinker dévisagea l’inconnue de la tête au pied, il était si séduisant et si mystérieux.
Se n’est qu’au moment au ce pseudo inconnue prit la parole qu’elle le reconnue c’était Evan, elle ne cacha pas sa surprise :

« Evan ? Mais comment ; enfin je ne veux pas te déranger,…je… »

Elle se mit à pleurer :

« Il n’est pas venue. »

Tinker pleurait a chaude larme, elle se sentait tromper, délaisser, elle avait l’impression de n’être qu’une amourette que Sanzô prenait quand il voulait. Son cœur lui faisait énormément mal.
Elle n'avait pas vue l'arriver de Sanzô, mais elle sentit sa présence elle balaya la salle du regard sans le voire. Elle se remit à pleurer mais cette fois-ci dans les bras d'Evan.

Invité

Evan serrait Tinker dans ses bras, elle ne l'avait pas souvent vue pleurer. Il n'aimait pas voir ses amis dans cet état, il tenait beaucoup à Tinker, elle avait été la première personneà lui accorder de l'importance, elle l'avait sauvé pas mal de fois et lui il l'avait souvent mis en dangé.

Elle pleurait à chaudes larmes et elle ne s'arrêtait pas, mais Evan continuait à la serrer fort dans ses bras. Après plusieurs minutes dans cette position il la décola légèrement de lui et la regarda dans les yeux.
Ils brillaient, on aurait dit qu'il y avait des étoiles dans ses yeux, les larmes continuaient à couler.

Evan la fixait droit dans les yeux puis il sortit de sa poche un mouchoir en soie sur lequel était brodé ses initials puis il essuya les larmes qui coulaient le long de de sa joue.
Le mouchoir était humide mais Evan continuait d'essuyer les larmes qui coulaient.

" Arrête de pleurer, je n'aime pas te voir dans cet état, tu vas me faire pleurer aussi, tu ne voudrais pas quand même.
Et puis je suis sûr qu'ila une bonne raison, et puis je suis là, c'est pas une grande conssolation mais c'est moi, c'est Evan, je te laisserais pas tomber."

Après avoir parlé Evan serra encore une fois Tinker dans ses bras, il espérait qu'elle arrêterait de pleurer.

Un petit reniflement se fit entendre, Tinker releva la tête, ses pleures avaient fini pars s’arrêter.
Elle regarda Evan et le remercia :

« Merci d’être là. Je suis bête de pleurer comme ça. »

Elle fit un bisou sur la joue le prit par la main, elle rigolait, elle avait le sourire aux lèvres, elle était si heureuse d’avoir d’aussi bon amis.
Malgré cette joie immense, et son sourire si joyeux, Tinker avait une certaine mélancolie, qu’elle laisser pour un temps dans un coin pour ne pas peiner son ami.

« Aller viens danser ! »

Elle se retourna vers la piste de dance pour tire Evan vers celle si, ses cheveux volèrent, on aurait dit une nymphe.

(C’est nul désolé)

Invité

Evan regardait paisiblememt Tinker quand il fut violement tiré par le bras, elle voulait dancer, mais lui il ne savait pas, enfin il croyait. Arrivé sur la piste de danceTinker se mit à dancer, elle était si belle, on aurait dit un signe, après quelques tours sur elle même elle attrapa la main d'Evan et elle se remit à dancer.

Evan était paniqué, il ne savait plus quoi faire et il se lassa porter par la musique, après avoir écraser une ou deux fois les pieds de Tinker il se sentit à l'aise, Tinker ne le tirait plus et elle ne poussait plus de petits cris de douleur.
A la deuxième dance Evan se sentait mieu, et il faut l'avouer, Tinker aussi, ses pieds ne lui faisaient plus mal, elle pouvait dancer tranquille.

Les minutes passaient et ils ne voyaient pas le temps, puis ils s'arrêtèrent, tout à coup au milieu de la piste, ils ne bougaient mais EVan brisa le silence.

" Tu veux boire quelque chose? ( le truc débile)"

Evan attendait une réponse mais une autre question lui traverça l'esprit, que faisait Sanzo?

Tinker danser paisiblement avec Evan malgré des débuts chaotiques la danse était plaisante.
Les minutes passèrent sans que l’un ni l’autre ne se lasse de ce Paradies dansant.
Au bout d’un moment ils s’arrêtèrent, malgré la musique, les discutions Tinker n’entendait plus rien elle était si heureuse.
Ce silence de joie fut rompu par une demande de la part d’Evan :

« Tu veux boire quelque chose? »

Tinker afficha un sourire radieux et pris de nouveau Evan par la main et le conduit au bar.
Elle était si heureuse, elle avait un regard apaiser, elle observait Evan il essayait d’interpeller le serveur, elle le trouvait si galant et tellement a son écoute, c’est alors qu’elle se souvient d’un petit dicton :

Un jour l’Amour à demander a l’amitié : « À quoi sers-tu ? »

L’Amitié lui a répondue : « À sécher les larmes que tu as fait couler… »

Evan se retourna et regard Tinker elle lui sourit avec un regard d’enfant et lui murmura un « merci ».
Evan ne devait surement pas tout comprend, mais pour Tinker cela voulait dire énormément de chose.

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Sanzô se trouvait toujours au fond de la salle. A un moment, Tinker tourna son regard vers lui, alors il adressa un signe de la main... Mais rien ne se produisit. Alors il prit du papier et une plume et écrivit dessus:

Je suis heureux que tu passes une bonne soirée avec lui.
Je pense ne pas pouvoir te rendre heureuse, et sécher les larmes de la beauté que tu es... Tu étais magnifique ce soir, comme tous les autres jours... L'ombre du cigne que tu reflètes me rend encore plus amoureux...
Je t'aime mon amour...
Sanzô

Sanzô fit un avion en papier... Son maître d'autrefois passait ses journée à fumer ou à faire des avions en papier car il n'avait aucun savoir à transmettre... Alors Sanzô le suivit... Et envoya l'avion sur le comptoir où était posée Tinker.
Puis, il repartit derrière les portes de la fête pour fumer...

Tinker rigolait au éclat, lorsque tout d’un coup, un avion en papier de couleur orange vient se posa prés d’elle ; elle se baissa pour le ramasser. SA main tremblait.
Elle l’ouvrit, son cœur s’accélérait, elle y reconnaissait l’écriture de Sanzô, elle parcouru vivement le mot de peur qu’il s’envole, puis elle le relu plusieurs fois.
Elle releva la tête du papier et scruta la salle, il n’y avait personne.
Sans dire un mot, elle attrapa son sac qui se trouvait sur le comptoir et courra vers la sortir, elle s’arrêta et se souvient qu’elle avait abandonné Evan elle revient sur ces pas en courant lui fit une bise sur la joue accompagner d’un sourire radieux, puis elle reprit sa course vers la sortir.
Essouffler, elle poussa la porte de la grande salle, le suspense était intenable, c’est alors qu’elle vit Sanzô dos au mure entrain de fumer.
Elle s’avança a grand pas et s’arrêta devant lui droite comme un piquet.

« Sanzô ? »

Invité

Evan ne comprit pas tout de suite ce qui ce passait, il vit Tinker s'éloigner, et en même temps la bonne heumeur et la joie qu'il avait gagné pendant la soirée venait de partir avec Tinker.
Il la voyait s'éloigner, de plus en plus, puis elle passa la porte et elle disparue. Evan sentit une légère amertume monter en lui, il comprennait que Tinker aille voir Sanzo, mais il en voulait à celui-ci, à cause de lui une soirée venait de se terminer.

Sentant la solitude monter en lui il s'approcha d'une fenêtre, il l'rit et il sauta. AU début plusieurs élèves se précipitèrent à la fenêtre mais quand ils vîrent qu'Evan possédait des ailes ils repartîrent voir leur cavalières.
Evan ne pleurait pas, il ne voulait pas, mais il se dirigeait vers l'endroit où il se sentait le mieu, le cimetière.

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Sanzô était sortit. Il était sur le point d'écraser sa cigarette et il avait déjà desseré sa cravate... Pour une fois il s'était bien abillé, il avait fait des efforts... Puis il vit Tinker se poster, droite, devant lui. Sa cigarette lui tomba de la main, ses doigts restèrent dans la position sur laquelle la cigarette était tenue entre.
Il n'avait qu'une envie, être dans ses bras, il n'avait qu'une envie, l'embrasser comme un vrai couple le ferait...
Il avait envie d'être avec elle, pour le restant de ses jours, être avec elle toute sa vie, faire un enfant peut être même... Mais rien ne sortit de sa bouche à part ces quelques mots peut être blessants:

Tu aurais dû rester avec lui, tu étais heureuse, et lui l'était aussi...

Sanzô n'arrivait pas à dévoiler ses sentiments... Il était un homme qui se montrait comme quelqu'un de distant, désagréable, blessant, froid... Tous ces défaults faisaient fuirs les personnes avec qui il faisait connaissance... Sauf Tinker... Il rajouta après avoir réfléchit à ça:

Tu... Tu es un ange... On en trouve plus des comme toi...

Tinker admira Sanzô son coter mauvais garçon la faisait craquer, après tout, il était un peu la nuit et elle le jour, lui l’enfer, elle le paradie.
Malgré ces différences elle l’aimait, elle l’aimait a en mourir.
Il lui dit qu’elle aurait put restait avec Evan ces mots la blessa, sont regard se perdit dans le vide, il fut rattraper par une magnifique phrase et par le plus beau compliment qu’on puisse lui faire :
Tu... Tu es un ange... On en trouve plus des comme toi...
Les larmes aux yeux elle avança doucement vers lui, elle le regarda dans les yeux comme pour demander son accord.
Puis elle mit ses mains contre sa poitrine et vient se coller contre lui.
Elle avait le souffle coupé, elle avait peur de sa réaction.
L’odeur de Sanzô la bercé doucement, elle était comme transporté dans un autre monde.
Elle murmura un :

« Je t’aime, tu es mon ange déchu, ma moitié. »

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Sanzô sursauta, comme si il venait de se prendre une décharge électrique... Et cette petite décharge était Tinker... Elle venait de se blottir contre Sanzô. Ce dernier, ne sachant plus vraiment quoi faire laissa ses bras balants. La dernière fois que Tinker s'était mise contre lui, il l'avait éjectée contre une étagère de la bibliothèque...
Puis il mit doucement ses bras autour de la taille de Tinker... Ils restèrent longtemps dans cette position, jusqu'au moment où ils s'écartèrent l'un de l'autre pour se regarder dans les yeux... Ceux de Tinker brillaient, elle semblait heureuse et ses yeux reflétaient la vérité d'un enfant perdu...
Sanzô troubla les pensées des deux jeunes amoureux en proposant:

Tu veux qu'on aille dehors? On y serra mieux qu'à l'intérieur... Si tu veux, on retournera danser après...

La premier réponse de Tinker a cette question fut un rire joyeux accompagner de son plus beau sourire, malgré la nuit recouvrant chaque parcelle de vie, on se crue en plein jour.
La joie de Tinker et sa bonté rendait l’endroit chaleur et lumineux.
Elle déposa un lège baisé sur la bouche de Sanzô et le regard de nouveau, elle remarque sa cravate dénoué, elle s’empressa alors de lui remettre.

« Tu es si beau mon amour, cela te vas si bien. »

Apres ces mots, elle le ré embrassa de nouveau.

« On va dehors alors ? Moi du moment que je suis avec toi, tout me va ! »

Elle se mit à rire doucement, et s’arrêta tout doucement, Sanzô la regardait d’un regard si intense, qu’on ne pouvait que se taire.

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La nuit avait gagnée l'Académie comme dans une course du plus rapide... Et Tinker acceptait quand même d'aller dehors avec lui. Sanzô regarda intensemment Tinker puis, mettant son bras autour d'elle, dessera sa cravate, enleva sa veste, et la mit sur le dos de Tinker, la cravate toujours sur lui, dénouée...
Puis ils allèrent dehors, s'assirent sur un banc et attendirent... Longtemps, peut être même trop car le silence devenait pesant...
Sanzô lui dit doucement, en sortant une cigarette de son paquet:

Tu n'as pas trop froid?

Puis il alluma sa cigarette et se mit à fumer. Après un signe de tête de la part de Tinker, que Sanzô n'avait pas tout a fait compris la signification, il lui demanda:

Ca ne te... Ca ne te gêne pas que je sois un humain?

La question pouvait être blessante car, posée dans le sens contraire elle aurait donnée: "Ca ne te gêne pas que tu ne sois pas humaine"? Qui aurait put engendrer le mot "monstre"... Tinker se faisait souvent des films, alors Sanzô craignait sa réaction...

Tinker écarquilla les yeux devant la demande de Sanzô elle se leva d’un bon et dit :

« Mais pourquoi tu pense ça ? Je t’aime le faite que tu sois humain n’y change rien, je dirais même que sa te donne un certain charme, un certain mystère. (Elle grimpa sur un petit roché) L’amour est plus fort que tout (et là elle se met à chanter comme dans moulin rouge mdr non je déconne mdr « All you need is love »..). »

Tinker s’arrêta nette, elle se sentait honteuse de s’être emporté comme cela, elle regard Sanzô et lui dit :

« Je suis désolé, mais ne pense pas que le fait-est que tu sois humain me gène, cela devrait plutôt être le contraire, comment peux-tu aimer une magicienne folle de potion, aussi naïve et débile que moi ? »

Elle finie sa phrase sur une mine boudeuse pareil a celle d’un enfant qu’on avait privé de dessert.