Pazu, marcha vers un cerisier du japon, il enleva ses chaussures et ses chaussettes, il adorait sentir les pétales sous ses pieds.
Il se laissa mollement tomber contre l'arbre, il s'assit et sortit de sa poche intérieur droite un petit livre, sa couverture était verte, elle semblait bien abimé et il y avait pour titre écrit a l'encre de chine en calligraphie Japonaise "La philosophie du temps".
Il l'ouvrit, une photo en tombât, c'était son marque page.
Une petite fille aux cheveux bouclé en anglaise blanc comme ceux de Pazu, aux yeux noire profond, son regard reflétait la joie, elle avait le tient asse pale, elle portait les habits traditionnelles des peuples des montagnes, une robe bleu mit pardessus un pantalon blanc, avec des bottes en cuire qui étaient plissé et qui passaient pardessus son pantalon.
Pazu regardait la photo avec mélancolie, c’était petite fille, c'était sa sœur...
Il ferma les yeux, il ne fallait pas craquer, pas ici. Et comme a son habitude, il refoula ses émotions.
Il mit la photo contre la couverture, et se mit à lire.
Il n'arriva pas à lire tranquillement, il sentait une présence, il scruta les environs, et vit la jeune fille, qui s'était endormi non loin de lui, elle était recouverte de pétales de cerisiers, on ne voyait plus que ses cheveux blonde comme ceux des anges qui volaient au vent...
IL se leva (il avait son livre a la main) et secoua brutalement la jeune fille et lui dit:
"Lève-toi ! Je ne sais pas depuis combien de temps tu es ici, mais il faudrait mieux que tu rentre, de plus, tu m'empêche de lire"
Pazu aurait pu lui dire cela plus gentiment, mais il ne pouvait pas, il ne savait plus le dire, en réalité, la jeune fille ne le gênait pas, mais il ne voulait pas qu'elle attrape froid.